That Girl Is Just Me

Aujourd'hui je voudrais écrire à propos d'un sujet qui me tient de plus en plus à coeur en grandissant : le sexisme. 

Alors oui, la place de la femme à évolué depuis le Moyen-âge... soit cinq siècle après Jésus Christ. Soit il y a plus de 1000 ans (16 siècles pour être exacte) 16 siècles? Et le statut de la femme au Moyen-âge dans tout ça? Et bien tout d'abord, admetons que la femme a trois périodes dans sa vie. L'enfance jusqu'à sept ans, la jeunesse jusqu'à quatorze ans, et enfin, la vie de femme jusqu'à 28 ans, âge auquelle la femme est considérée comme vieille. Évidemment, dès l'enfance, le garçon et la fille suivent des voies différentes. Cependant, la femme peut exercé de nombreux métiers, qu'elle soit mariée ou pas. Mais n'oublions pas que, dans la noblesse, la fillette peut être offerte à un monastère ou bien fiancée. À la campagne, la fillette reste avec sa mère pour faire le ménage, s'occuper des animaux, etc. Faisons un saut de le temps et aterrisons au XVII ème siècle. Soit il y a 400 ans. L'âge auquel la femme doit se marier n'a pas beaucoup évolué depuis le Moyen-âge... Elle est promise à un époux de haut rang lorsqu'elle appartient à une famille riche, et ne donne pas son avis. Son éducation en est ainsi comme en témoigne la Marquise de Merteuil. Point de raison pour la fillette. Elle est soumise à son père puis à son mari. Marié dès l'âge de 14 ans, elle est obligé de se réduire à l'état d'objet sexuel et de machine à bébé pour son cher mari de 20 ans plus âgé qu'elle. Et aujourd'hui, au XXI ème siècle, qu'en est-il? Et bien l'homme pense encore et toujours être superieur à la femme. Il y croit dur comme fer. Les blagues, les rélflexions, les comportements sexistes sont présents et ne semblent pas s'essoufler. J'ai beaucoup d'humour, et oui, malgré le fait que je sois une femme, je comprend le second degrès! Incroyable mais vrai! Mais les blagues sexistes les gars... Même si vous vous croyez drôle, vous ne faites que passer pour un gros beauf devant vos copines. Certaines femmes acceptent cet état de soumission et de faiblesse. Les féministes sont mal vues. Mais l'égalité de penser et d'action des hommes et des femmes doit belle et bien exister quelque part. Après tant de siècles sur Terre, est-il possible que les "traditions" soient encore si bien ancrées dans nos moeurs et dans notre façon de penser? Le droit de vote les gars! 1945! 70 ans! Je vous rappelle que si la création de la planète jusqu'à maintenant était ramener à 24 heures, l'homme serait apparu à 23h59 (simple produit en croix) Alors imaginez un peu! 

Je ne vais pas bavarder plus longtemps, car il y aurait tant de choses à dire, et qu'il m'est impossible de tout énumérer et expliquer ici. Mais je suis heureuse de voir que les réseaux sociaux (notamment YouTube) permettent à certaines et certains de s'exprimer sur le sujet. Malheuresement, les réseaux sociaux et internet permettent également de voir à quel point certains pays et certaines cultures et certains hommes de pays développés comme la France continuent de cultiver ces croyances, et de réduire les femmes à l'état de sous-merde. 

Sur ces bonnes paroles, bonne nuit. 

Se sentir vieux alors qu'on a que seize ans... Ça parrait fou non? Mais je veux pas être adulte. Dix septs ans? Ok ça va, mais après c'est bon. J'arrête là. Si seulement Peter Pan existait, j'irai volontier combattre le Capitaine Crochet avec lui. Je veux pas être adulte. Je veux pas vivre seule, je veux pas avoir de responsabilité autre que faire mes devoirs. Ok, j'aimerai pas aller à l'école toute ma vie, mais bon dieu ce que j'aimerai être une petite fille à nouveau. Être insouciante, je veux dire, vraiment. Ne pas savoir ce qu'est la vie, se faire des amis en un clin d'oeil, piquer des crises, faire des bêtises sans qu'on nous reproche rien "c'est qu'un enfant!". 

La seule chose que je detestait, et qui persiste malgré mon âge, c'est la bêtise parfois déroutante des adultes. Oui, ceux-ci sont parfois... tellement idiots! Et ouais, je suis une ado qui se défoule sur les adultes. Mais quand j'étais plus jeune, je comprenais déjà pas mal de chose, j'ai toujours eu l'impression de penser pareil dans ma tête. Je savais qu'on prenait pour une imbécile, pour une "gamine", ce que je deteste ce mot! Mais j'avais horreur qu'on me parle comme à une demeurré complet! Un enfant est un enfant, il n'est pas stupide! Loin de là. Et encore aujourd'hui, je subit ce genre de réaction, notamment dans les repas de famille... Les blague de cul vous connaisez? Vous les comprenez dès... Allez, 11 ans? Bah là, ça devient vraiment, mais alors très gênant. Vous avez envie de faire comprendre que vous être plus une gamine? Votre cousin, lui, il se gêne pas! On va pas parler de sexisme quand même? Non, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est du sexisme. Ça s'apparente plus à un taux d'idiotie très élevé. 

Bref, tout ça pour dire que, grandir c'est pas drôle. Pourquoi les adultes ne se souviennent pas de ce moment? Je suis pas vraiment le type d'ado à vouloir partir, à se casser en soirée tout le temps, a gueuler sur ses parents et à se révolter. Loin de là. Mon problème, c'est l'inverse. JE VEUX PAS PARTIR!

J'entend souvent ce terme : "musique commerciale".
Mais qu'est ce que c'est? Pour la plupart des gens, c'est le fait qu'une musique ne soit créer que dans un but lucratif. En gros, les musiciens (les artistes) n'en sont pas vraiment. C'est peut-être vrai dans un sens, mais qui ne veut pas vivre de sa passion? Certes, dans notre société, chaque chose peut se prêter à devenir un produit, à être vendu et consommé, y compris la culture. Cependant, il faut tout de même faire la différence entre la vrai musique commerciale, et une musique qui marche. Aujourd'hui, beaucoup de nouveaux musiciens font leur entrée dans le monde de la musique et très peu devienne connus, même s'il y'en a beaucoup plus qu'il y une vingtaine d'année. 

De plus, on peut se rendre compte de l'importance de l'apparence dans ce monde. Et c'est sûrement une des choses qui pousse le plus les gens à penser que les nouveaux artistes ne méritent pas leur succès, ou qu'ils l'ont acquis grace à leur nombre incalculable de chirugies. Mais je peux vous trouver un tas d'artiste qui ne sont pas des "canons" en soit. Mais cet argument tient tout de mêmes pour certains artistes. 

Ce qui me dégoute le plus la dedans, ce sont les personnes qui au choix : 
- ont honte d'écouter une musique qu'ils pensent "commerciale" parcqu'ils l'ont souvent entendu à la radio et apprécié. 
- mérpisent les personnes qui écoutent ces "musique commerciales". Oui, MÉPRISENT! N'est ce pas révoltant? Je fréquente moi même de ces personnes qui font partie de cette catégorie. Est ce qu'ils écoutent des musique que personne ne connaît pour montrer leur supériorité intellectuelle? Est ce qu'ils n'essaient même pas d'écouter ces musiques pour être sûre de pouvoir détester celles-ci? Et cette manière de penser peut s'appliquer à tout : les films, les livres, les série. Vouloir montrer que l'on est différent. Ce besoin de montrer qu'on est pas un mouton. Ce besoin d'être reconnu pour sa différence. Mais est ce réellement une honte d'apprécier les mêmes choses que la "masse", la "populace"? L'intelligence ne se mesure pas à ce que l'on fait mais à ce que l'on est. Et si vous vous limiter à juger les gens pour la musique qu'ils écoutent, et bien honte à vous. 

Et je ne parlerai pas de ceux qui, au contraire, écoutent ces musique "commerciales" pour essayer de s'intégrer ou d'être accepter par le plus grand nombre. 

En un mot, écoutez, regardez, lisez ce qui vous PLAISIR, et ne vous laisser ni influencer, ni intimider par les autres. Et surtout, ne jugez pas les gens idiots, non cultivés ou moutons pour le simple fait qu'ils aiment ce qui rapporte de l'argent. Car oui, aujourd'hui, gagner de l'argent en faisant ce que l'on aime est un crime. Et on devrait être contents pour ces artistes (que vous pensiez qu'ils en soient ou non) au lieu d'en être jaloux et de les mépriser. Ce sujet rejoint celui des "youtubeur". Mais ce sera un autre article. 

PEACE!

Pourquoi les souvenirs s'obstinent à vouloir remonter à la surface? Je leur ai demandé de venir moi? Non pas du tout. Je veux qu'ils me laissent tranquille. Je veux "move on on my life"! Mais non, il suffit d'une photo, d'une musique, et voilà que les deux pas que j'ai réussi à faire en avant ne servent plus à rien, j'en refais 10 en arrière. Et je dois tout recommencer. J'aimerai suivre les conseils, avancer. Mais est-ce si facile? Ça commence par des yeux qui piquent, et ça finit en crise de larmes. 

Avançons.

Actuellement je n'arrive pas à définir le sentiment que j'éprouve : de la tristesse, de la joie, de la nostalgie, ou peut-être tout ça en même temps... Le temps passe si vite que j'ai l'impression qu'il me file sous le nez, que je suis plus lente que lui et que j'ai besoin de claques pour revenir à son niveau et réaliser que 12 mois sont déjà passer le temps que je réfléchisse à une chose. J'ai l'impression que mon cerveau va exploser dans l'agitation de tout ce qu'il se passe autour. C'est comme si la vie était si éphémère que la vie elle même n'existait pas et qu'elle n'était qu'une rêve. La mort serait le réveil. Mon coeur bat parfois si vite  que j'ai une impression d'étouffement, le temps me tue. Des larmes de joie ou de peine, des secondes qui passent trop vite ou trop lentement, une pure torture. Je regarde défiler les jours, les mois, sans rien faire et c'est comme si je n'était que spectatrice de ma propre vie. Écrire me fait sentir vivante. La musique et les rêves me font sentir vivante. Mes yeux brillent, des larmes veulent couler sans aucune raison. Elles sont juste là. Tiens! ce sac par terre que je dois ranger depuis... trois mois? T'es sûr? Non ça fait seulement hier! Non... Ça fait bien trois mois qu'il est là... 

J'ai commencer à écrire sur ce blog exactement le 1er Janvier 2015. Ce qui fait exactement 181 jours donc. J'ai pourtant bien l'impression que l'hiver n'était qu'hier. 

La vie est unique. On la voit tous les jours et pourtant, elle est si rare, si complexe et si fragile. Elle pourrait disparaître d'un instant à l'autre.

Le temps... Il suffit d'une mélodie et de quelques paroles pour vous faire monter les larmes aux yeux, en repensant aux moments désormais révolus. Le passé, plus qu'un vague souvenir. Plus que l'ombre de moments heureux. Le présent vous semble si morne et si triste, quand votre enfance était si ensoleillée et si belle. Des chansons qui vous faisait sourire, des notes de piano que vous n'oublierais jamais. Pourtant le présent n'est pas si horrible, juste différent, il sera un jour lui aussi un souvenir. Et cette vague d'émotion remontera à la surface pour ce que vous êtes en train de vivre actuellement, et ce cycle ne s'arrêtera qu'au moment du trépas.

Parfois les choses ne sont pas ce qu'elle sont supposées être. Je pensais que c'était plus simple, mais quand on y est, on ne sait plus quoi faire ni quoi dire. Je rêvais de certaines choses, je me disais qu'elles étaient faciles à réaliser, mais une fois dans la réalité, elles ne sont plus ce qu'elles étaient censées être. Tout ça est très théoriques. Est-ce que la vie est ce qu'elle semble être? Quand on grandit on dit "c'est pas aussi simple", c'est facile de dire ça. On ne sait pas, alors on dit que ce n'est pas aussi simple, que c'est bien plus compliqué. Pourtant, toutes ces choses paraissent faciles en théorie. On ne pense pas aux choses qui sont réellement simples, on les vit tous les jours, mais sont-elles ce qu'elles sont vraiment? Une succesion de gestes quotidiens auxquels on ne réfléchit même plus? Et une fois qu'on les perd, on se sens vide. Les choses compliquées, je cherche mon temps à les chercher. Je voudrais pouvoir faire ces choses simples qui sont pourtant si compliquées. Ces choses qui semblent si simples quand ce sont les autres qui les font. J'ai essayé plusieurs fois. Et là je me dis que ma vie est bien monotone. Mais si un jour elle devient "compliquée" alors je regretterais cette vie là. Si on part de là, alors on ne trouvera jamais le bonheur. Plusieurs philosophes ce sont penchés sur cette question : qu'est ce que le bonheur? Je ne vais pas vous répondre! Mais si on n'est jamais content de ce que l'on a, alors j'ai bien peur que le bonheur ne soit qu'une théorie. Une chose qui parraît simple, et qui est compliquée, mais si on pense que l'on est heureux, alors peut-on vraiment l'être? 

On juge certaines choses très importantes alors qu'elles ne le sont pas. Moi la première. Par exemple, prenons les études superieurs. Pourquoi? Avoir un statut très haut dans la hiérarchie? Devenir riche? Ça parraît attrayant. Mais peut-on avoir une belle vie sans pour autant être cadre? Ce sujet porte à débat. "Voyez vous ma chère, dans la vie, il faut savoir peser le pour et le contre" disait une bonne amie. Et bien c'est ce que, après bien des années à être sûre de vouloir être la meilleure et faire de longues études, je commence à faire. Après tout, est-ce vraiment ce que je veux? Pour l'intant je vous dirait oui, mais je change facilement d'avis, et à un moment donné, tout ça ne sera plus un futur lointain mais... un futur très, voire trop proche, et je vais devoir faire mon choix. Vers où me diriger? Que faire de ma vie active? Que de questions sans réponses, de raisonnements qui ne servent finallement à rien.

Sur toutes ces bonnes paroles mes chers amis, je vais manger! 

Un jour ou l'autre, on est censé devenir un adulte. Ou du moins, avoir des "résponsabilités". Ne plus se reposer sur nos parents. Ne pas avoir peur de l'exterieur. C'est une chose très complexe. Il ne faut pas faire d'erreur. Il faut dire les bonnes choses au bon moment. Il faut pouvoir les dire. Parfois on les pense mais on ne les dit pas. Je voudrais que les choses soient plus simples. Comme dire ce que je ressens quand je veux. Ne plus avoir peur de parler. Pourquoi avoir peur de parler? Pourquoi est ce que moi, la nature m'a faite aussi timide? Mon cerveau me dicte de ne pas avoir peur. J'ai l'impression de ne pas avoir peur. Mais mon corps lui... Il ne m'écoute plus. Une fois devant le public, attendant mon discours, mon corps se met à trembler. Je lui dit de se calmer mais ça y'est, il a compris le subterfuge. Pendant tout le temps d'attend je fais comme de rien, et le moment venu, c'est comme s'il avait compris ce qui se passait vraiment : il allait passé devant un juge. Il allait devoir vivre devant une poignée de personne pendant quelques minutes. Mes mains tremblent. Ma bouche tremble. J'ai beau ne pas avoir peur, me dire que tout ça est dans ma tête, mon corps de comprend pas. Il devient brûlant. Ma tête ne veut plus se concentrer et elle divague. Mes joues deviennes écarlates. Mon coeur s'emballe et je suis obligée de m'appuyer contre le mur derrière moi pour ne pas m'éffondrer. Et ma voix devient inaudible. Mais pourquoi? J'essaie de passer outre tout cela, de faire face à mon public, de le confronter. De parraître détendue. Mais mon corps ne m'écoute plus. Je l'ai perdu. Mon discours est fini. Je peux retourner à ma place. Les quelques secondes qui suivent sont floues, je ne vois plus rien. Je respire. Lentement. Je reste assise et je ne bouge plus. Je suis enfin dans ma bulle. Personne ne me regarde. C'est fini. J'ai réussi à parler. 

Voilà à quoi resemble un oral d'espagnol chez moi! C'est demain. Pourquoi en faire toute une histoire allez vous me dire? Je n'en sais rien.